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On parle rarement du vendredi matin avec les Macaques

 Vviens par ici je t'embarque,

pour te conter l'histoire de macaque.

Au soleil levant l'histoire commence,

draps humides, air ranse.

Lors du premier tour au clair de jour,

au trone se presse l'arrière-cour.

Au bord du trou se révélant, 

macaque se fait chauffant.

La brise se sépare, masceration,

Elle s'égare, moribonde putréfaction.

Macaque nous défie, nous qui plissons les yeux,

Incontrollable elle fini en tous lieux.

De la crème se parsème l'ivoire lisse, souffrance,

Rédemption demandée se voit accordée délivrance.

Macaque frémit et s'enivre des saintes eaux,

Tourbillon bucolique, ainsi s'en va la déco.

La brise devenue foehn brûle comme mille vox populi,

macaque s'en revient, envol du pipiri.

Du deuxième tour il est question, redoutable,

un ressenti éprouvable.

Macaque est cataclysmique, orgasmique,

Les trompettes sonnent, musique évangélique.

Les sept épreuves infernales se déchainent,

la passion nous délivre de ses chaines.

Et ainsi macaque s'en est allée,

les gambas de David sont passées.





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